Je suis née il y a cinquante-cinq ans, dans une région qu’on
appelle désormais « Les Hauts de France »,
où je vis toujours. J’aime les promenades en bord de mer, le pop-rock des années 70/80, Bowie depuis toujours et pour toujours et mes chats, bien sûr, deux petites boules d’amour dont les câlins sont d’un tel réconfort.
Pour certains, je suis une extra terrestre, car je n’ai pas de téléphone portable et je ne connais rien aux réseaux sociaux, mais je ne rejette pas la technologie pour autant. Nos ordinateurs sont assez puissants pour les jeux en ligne, comme WOW auquel je joue depuis sa création, mais j’avoue y consacrer moins de temps depuis que j’écris.
Pendant des années, j’ai lu des romans de Fantasy, me laissant emporter par l’univers des autres, et à l’époque, je n’aurais jamais imaginé que je pouvais écrire ma propre histoire. Tout a commencé avec « L’assassin royal » de Robin Hobb. Je pensais avoir en main l’intégralité, mais je me trompais, et ce n’est qu’à la fin que j’ai découvert qu’une suite était prévue. Fitz et le fou ne pouvaient pas se quitter ainsi et j’ai écrit un épilogue où ils se retrouvaient vingt ans plus tard.
Ce n’était que quelques pages, mais j’ai éprouvé un tel plaisir en les rédigeant. Seule, je ne me serais peut-être pas lancée, mais un ami a cru en moi et il m’a invité à créer mon propre univers. Quand j’ai commencé « l’héritier du destin », je ne savais pas du tout ce qui allait se passer, mais les événements arrivaient au fur et à mesure que j’écrivais.
J’ai mis une grande partie de moi dans mon personnage. Comme Kalick, je suis consciente de la beauté de ce monde et de la nécessité de le protéger, je pense que nous devons suivre notre cœur, dans le respect de l’autre et de la nature, que nous faisons partie d’un tout et que individuellement nous ne sommes rien.
Ce personnage peut paraître un peu déroutant. Durant vingt-cinq ans, il a vécu dans une bulle, au sein d’un peuple où les porteurs de magie détenaient la vérité et étaient respectés de tous. Du coup, il est un peu perdu en arrivant dans un monde qui lui est totalement étranger, mais il va suivre sa voie et découvrir qui il est.
Les deux premiers tomes se déroulent sur une année et je pensais m’arrêter là, mais j’ai été incapable de les quitter. Dans le troisième, la vengeance les réunira à nouveau et Kalick n’aura plus rien de comparable avec le pacifique sorcier du début.
Cette aventure à peine terminée, une autre débuta et encore une autre. Tant que l’écriture restera un plaisir, je ne cesserai pas de donner vie à des personnages, de créer de nouveaux rivages où mon esprit s’évadera.
où je vis toujours. J’aime les promenades en bord de mer, le pop-rock des années 70/80, Bowie depuis toujours et pour toujours et mes chats, bien sûr, deux petites boules d’amour dont les câlins sont d’un tel réconfort.
Pour certains, je suis une extra terrestre, car je n’ai pas de téléphone portable et je ne connais rien aux réseaux sociaux, mais je ne rejette pas la technologie pour autant. Nos ordinateurs sont assez puissants pour les jeux en ligne, comme WOW auquel je joue depuis sa création, mais j’avoue y consacrer moins de temps depuis que j’écris.
Pendant des années, j’ai lu des romans de Fantasy, me laissant emporter par l’univers des autres, et à l’époque, je n’aurais jamais imaginé que je pouvais écrire ma propre histoire. Tout a commencé avec « L’assassin royal » de Robin Hobb. Je pensais avoir en main l’intégralité, mais je me trompais, et ce n’est qu’à la fin que j’ai découvert qu’une suite était prévue. Fitz et le fou ne pouvaient pas se quitter ainsi et j’ai écrit un épilogue où ils se retrouvaient vingt ans plus tard.
Ce n’était que quelques pages, mais j’ai éprouvé un tel plaisir en les rédigeant. Seule, je ne me serais peut-être pas lancée, mais un ami a cru en moi et il m’a invité à créer mon propre univers. Quand j’ai commencé « l’héritier du destin », je ne savais pas du tout ce qui allait se passer, mais les événements arrivaient au fur et à mesure que j’écrivais.
J’ai mis une grande partie de moi dans mon personnage. Comme Kalick, je suis consciente de la beauté de ce monde et de la nécessité de le protéger, je pense que nous devons suivre notre cœur, dans le respect de l’autre et de la nature, que nous faisons partie d’un tout et que individuellement nous ne sommes rien.
Ce personnage peut paraître un peu déroutant. Durant vingt-cinq ans, il a vécu dans une bulle, au sein d’un peuple où les porteurs de magie détenaient la vérité et étaient respectés de tous. Du coup, il est un peu perdu en arrivant dans un monde qui lui est totalement étranger, mais il va suivre sa voie et découvrir qui il est.
Les deux premiers tomes se déroulent sur une année et je pensais m’arrêter là, mais j’ai été incapable de les quitter. Dans le troisième, la vengeance les réunira à nouveau et Kalick n’aura plus rien de comparable avec le pacifique sorcier du début.
Cette aventure à peine terminée, une autre débuta et encore une autre. Tant que l’écriture restera un plaisir, je ne cesserai pas de donner vie à des personnages, de créer de nouveaux rivages où mon esprit s’évadera.
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